1) Comment est-ce que les Petits Canada (et les communautes franco-americaines aujourd'hui) semblent similaires aux communautes cadiennes en Louisiane (formation, histoire, raisons pour l'immigration, statut de la langue francaise, etc) ?
Ce qui est similaire pour les deux groupes est que les communautés dispersés de leur pays natal, ont reformé dans les mêmes groupes aux Etats-Unis. Donc en Louisiane les Cadiens « feront une ‘nouvelle Acadie’ » (19) et en Nouvelle-Angleterre, les Franco-Américaines « commencent à se regrouper dans un type de quartier auquel ils donnent le nom de ‘Petit Canada’ » (63). C’était le même groupe dans un pays différent. Et parce que c’est les mêmes personnes avec la même langue, les groupes sont proches et interdépendant. De plus, la langue se figure fortement dans l’histoire des deux groupes. Etant donné que les Cadiens et les Franco-Américaines parlent une langue minoritaire, ils avaient peur de perdre leur identité s’ils perdent leur langue. Pour les Franco-Américaines en Nouvelle-Angleterre, la langue était liée à la foi aussi : ils craignaient s’ils perdaient la langue ils perdraient la foi catholique. Dans les deux régions, il y avait les lois « qui oblige ses écoles à enseigner en anglais » (72). Les deux groupes souffraient parce qu’ils se sentaient inférieure à cause du fait qu’ils ne pouvaient pas parler l’anglais.
2) En quoi sont-ils uniquement "franco-americains" (et ainsi differents des Cadiens) ? Quelle est la situation de la langue francaise aujourd'hui dans les commuanutes franco-americaines ?
Les Cadiens sont les personnes qui viennent spécifiquement de l’Acadie. Les Franco-Américaines viennent du Québec ou de l’Acadie (et, je pense, les personnes avec les autres origines franco aussi ?) Le terme « franco-américaine » était formé parce que les Franco-Américaines voulaient montrer leurs deux identités : rester fidele à la culture française, mais montrer qu’ils sont aussi Américaines.
Aujourd’hui, ni les Petit-Canadas, ni plusieurs institutions qui promouvaient la langue française n’existent plus. Les communautés franco-américaines se concentrent plus sur l’ « histoire personnelle » que sur la langue française. La langue est enseignée dans les écoles, mais, même si beaucoup de personnes s’identifient comme Franco-Américaines, la langue française est parlé de moins et moins.
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