mardi 2 février 2010

L’ailleurs et les femmes.

1) Quelles images des "autres" (les Francais, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu'est-ce que l'"ailleurs" represente ?

Les autres sont vraiment les autres—les personnes très différents qui les Canadiennes n’arrivent pas à comprendre. Les trois Français qui avaient acheté la terre de Lorenzo, sont toujours appelés « les Français. » Le fait qu’ils sont identifié par leur pays, et pas par leurs noms individu indique qu’on est plus une partie de la culture qu’on est un individu.

Même si les paysans sont « simple » et mal éduqué, c’est plus difficile de faire le travail d’un paysan canadien. Leur travail est presque impossible d’apprendre : « Ils [les Français] étaient trop différents pour imiter les Canadiens » (137). Mais c’est plus facile pour les Canadiens à s’adapter à une autre vie. Lorenzo adore sa vie aux Etats-Unis, où il ne doit pas travailler avec la nature.

Cette vie complètement différente est considéré comme une vie merveilleux : « leur présence [les trois Français] simultanée dussent naturellement jaillir des récits merveilleux, des descriptions de contrée lointaines aux mœurs étranges » (134). La vie est tellement différente que Maria ne peut même pas imaginer la vie de Lorenzo. Je crois que, pour Maria en particulier, l’« ailleurs » représente une évasion de la vie dure au Canada.

2) Reflechissez au personnage de Maria--ses choix dans la vie, ses devoirs, son avenir, etc--et comment et represente la femme quebecoise traditionnelle. Qu'est-ce qu'Hemon veut dire a ses lecteurs a propos de la femme au Quebec ?

Il me semble qu’Hémon pense que Maria est la femme parfaite—une femme qui représente un temps plus simple. Le narrateur devient un peu nostalgique quand il décrit la réponse de Maria aux jeunes hommes. Mais la raison pour laquelle les hommes aiment Maria est grâce à « la beauté de son corps » (152). Elle est l’objet que les hommes regardent : « Tous les regards convergèrent sur Maria » (74). Le mot « regard » est utilisé tout le temps quand le texte parle de Maria. Elle est là pour le regard.

La première mention de Maria est à travers des regards des hommes : « --Et la créature qui est avec lui, c’est sa fille, eh ? Maria…Les regards curieux s’étaient tournés vers le haut du perron » (24-25). Ce mot « créature » indique qu’elle est un peu comme un animal—une idée soulignée quand le narrateur dit : « jeunes hommes…s’approchaient-ils d’une fille aux hanches larges et à la poitrine forte pour offrir et demander » (152). Maria n’est pas seulement jolie, mais elle a les « hanches larges » et « la poitrine forte. » Elle se reproduira.

Maria ne dit rien ; elle habite dans sa tête. En fait, elle a beaucoup à dire, mais elle le dit à elle-même. Mais le narrateur aime cet aspect aussi. Maria est « patiente, calme, muette » (152).

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